Esprit charnel

es-tu là en veux-tu du genou de la nuque du sourire canaille du creux poplité de la fosse cubitale des clavicules des chevilles qui s’attrapent des chevilles qui se tordent des parfums des paupières des centimètres carrés de hanches de cuisses blanches d’yeux tantôt noirs tantôt bleus en veux-tu en voilà
de la carne mais pas que des cris du repos des vives aussi des arbres indiscrets un lit de rivières une envie de pisser mais pas que de fausses larmes d’oignon mais pas que de l’ennui des fantasmes de la vie quoi dans les plis des lieux inexprimables
— mais on va essayer de bien s’exprimer quand même hein

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